Pour fêter la nouvelle année, certains prennent de bonnes résolutions, moi c'est une bonne fessée!
Ma première correction de l'année, je l'ai reçue devant tout le monde sur une aire de repos fréquentée le
soir par des camionneurs et des voyeurs.
Pour marquer le coup du changement d'année, j'ai dû encaisser 2014 claques... et un peu plus parce que le
décompte n'a commencé qu'à partir du moment ou j'étais déculottée alors que Monsieur avait déjà commencé la fessée sur la culotte.
Pour l'occasion j'avais mis une tenue volontairement trés pouf: minijupe plissée de sainte n'y touche
(facile à retrousser même pour un gars qui a 2 mains gauches) et dessous plus rose Barbie que ça tu meurs.
Je savais bien que les filles comme moi sont fessées cul nu mais là vu l'endroit je me demandais s'il le
ferait ou s'il se contenterait de retrousser la jupe, me donnant la fessée sur la culotte ce qui devant tout le monde est déjà une bonne humiliation.
Bref j'étais incertaine sur le sort qu'il me reserverait.
Mise en laisse dés mon arrivée, nous n'avons pas manqué d'attirer l'attention des voyeurs présents dans
leurs voitures et qui n'en attendaient sans doute pas tant.
Inutile de dire que nous avon été suivi jusqu'au lieu de la punition, lui devant moi derrière tenue en
laisse. On est allé directement sur lautre coté du parking ou trône en bonne place une robuste table de pique nique en bois.
Là, il passe un bras autour de ma taille et "m'invite" à me pencher en avant par dessus la table, j'obéis
jusqu'à avoir la figure collée dessus: c'est froid brrr.
Ausitôt il me dit qu'il va me retrousser la jupe. Je proteste qu'il y a des garçons qui nous regardent. Il
s'en fout et la remonte complètement dévoilant ma culotte aux yeux de tous.
Vu ma position la suite était évidente mais il pris la peine au cas ou cerains n'auraient pas compris de
dire à voix haute ue j'allais recevoir une bonne fesée devant tout le monde et aussitôt les premières claques s'abbatirent.
Bon au moins il n'avait pas dit "déculottée" et comme il me fessait déjà je pensais que j'allais m'en
tirer comme ça.
En fait pas du tout: ce n'était qu'un court échauffement car après une trentaine de claques il
s'interrompit pour dire: "allez on baisse la culotte". Paniquée je lançais alors un "non non pas la culotte" mais le temps de le dire je l'avais à mi cuisses et donc les fesses à l'air. Il se
justifia par un "les fessée pour les gonzesses c'est cul nu" et poit barre le débat était clos et moi déculottée en public.
Je sentis instantanément le rouge de l'humiliation me monter aux joues.
La fessée reprend de plus belle et je comprend en l'entendant compter à partir de 1 qu'elle ne faisait en
fait que commencer.
Des séries de 100 claques parfois 200 s'abattent sur mes fesses suivies entre chacune d'une pause pendant
laquelle je n'ai pas le droit de me relever.
Tout juste tolére t-il que je me passe une main sur les fesses. Je constate que malgré le froid elles sont
chaudes.
Les premières centaines ça va j'encaisse: occupée à digérer l'humiliation de la déculottée publique, j'en
oublie de faire la fière à dire des "même pas mal" ou "ma petite soeur tape plus fort".
Ensuite la douleur se fait sentir un peu plu à chaque série suivante et ça devient de plus en plus
inconfortable. Je commence à gémir et à dandiner du popotin puis à piétiner sur place.
Ca n'arrête pas la fessée et à gigoter tout ce que j'arrive à faire c'est faire descendre un peu plus ma
culotte le long de mes jambes.
500, 600, 700: les séries s'enchâinent et il claque toujours aussi fort et à bonne cadence: je chancelle
et couine: ça fait mal!
800,900: il sent que je suis prête à me relever alors son bras par dessus ma taille se fait ferme comme
pour me dire "cocotte tu ne pourras pas m'échapper"
Avec désarroi je me demande alors comment je vais pouvoir tenir jusqu'à 2014 alors qu'on n'est même pas à
la moitié!
Je serre les dents et j'encaisse. Finalement il compte à voix haute les 10 dernières baffes pour arriver
jusqu'à 1000.
Là il s'arrête comme à chaque fin de centaines pour sa pause mais après une bonen minute, au lieu de
reprendre le décompte, il m'autorise à remonter ma culotte, ajoutnt que c'était bon: les voyeurs avaient tout vu.
J'imagine qu'ils ont du avoir leur slip transformé en chapiteau...
Ca faisait un moment que je n'avais pas reçue une fessée aussi sévère et surtout aussi longue et là
j'étais servie!
Renculottée et jupe réajustée, je me sentis alors sauvée même si j'étais toujours en laisse et même si je
sentais que j'avais le rouge de la honte aux joues.
Il m'emmèna de l'autre coté de l'aire de repos, là ou nous étions garés.
Je pensais donc que le pire etait passé et le suit avec soulagement en empressement comme si ma honte
allait rester sur la table de pique nique derrière moi.
Certains hommes nous suivent d'autres non.
Arrivé devant les toilettes de l'autre coté il s'arrete et me dit: "t'as bien conscience que t'as eu que
la moitié de ta correction?"
Aant que j'ai pu dire uoi que ce soit, il m'ordonne: "alors viens là et tourne toi"
Je me retrouve alors dos au parking, et de nouveau penchée en avant par son bras autour de ma taille,
arrapant mes mollets avec les mains pour tenir la position.
Juste le temps de penser "Putain non!" et c'est reparti: jupe re-retroussée, culotte re-baissée. Cette
fois je ne réplique pas je me concentre sur la fessée qui va venir et ça repart à 1001.
Cette fois on n'est pas dans la pénombre mais dans le halo lumineux des toilettes et donc on doit bien
nous voir et je sais que certains hommes de l'autre coté nous ont suivis et doivent encore se rincer l'oeil.
Première série achevée à 1100. Puis la suivante 1200. Je gémis et gigote à nouveau. La culotte finit par
descendre sur mes chevilles: il s'arrête, la retire complétement, la jette au sol et reprend là ou il s'était arrété juqu'à 1300.
et ça continue:
1400 "putain encore 600!" me dis-je intérieurement!
Soudain un type nous dépasse: il va aux urinoirs juste à coté de nous. Comme une conne au lieu de baisser
la tête je guette sa sortie et forcément son regard croise le mien.
Il doit voir que je dérouille pour de vrai. Il me détaille de la tête aux pieds.
Je flippe: Que va t-il faire? me montrer sa bite? s'avancer pour que je le lui suce? je ne suis pas en
état: je commence même à larmoyer et je dois être toute rougie.
Finalement il repart, nous dépasse et je le perd de vue. Je ne saurais qu'à la fin et qu'il est resté à
regarder la fessée jusqu'au bout.
1500 j'ai les yeux vraiment mouillés.
1600 ça fait mal mais je résiste pour le surtout pas pleurer
1700 ça fait mal et je me sens tellement humiliée que je sens les sanglots arriver
1800 je chouine comme une gamine surtout que lui qui ne mollit toujours pas!
1900 j'essuies cette fois des larmes: fait chier ça va se voir en faisant couler mon rimel et il sera trop
content de lui!
2000 finit enfin par arriver: je ne fais pas la fière et tente de camoufler les effets de cette correction
genre moi ça va niquel pourquoi? comme si de rien n'était...
Les quatorze dernières claques sont assénées en les égrénants mais pour moi ça faisait l'effet d'un compte
à rebours avant que ça s'arrête.
"Et 2014!" lance t-il triomphalement. Moi je suis défaite.
Combien de temps ai-je reçue la fessée en public? 20 minutes? une demi heure? je n'en sais rien. Ca parait
super long mais si ça se trouve ça n'a duré que 10 minutes.
Rapide calcul dans ma tête: à raison d'une claque par seconde ça fait 1h 40 pour 100 claques dont 14
minutes pour 1000 et puis il y a les pauses pour que MÔssieur récupère car il n'est pas ambidextre et même sans le voir je sais qu'il ne m'a corrigée qu'avec la main droite, question d'habitude:
ça ne claque pas pareil main gacuhe et main droite...
Bref la 2014zième claque est tombée: cette fois j'ai reçue toute ma fessée c'est fini et comme une athlète
j'ai l'impression d'avoir accomplie une performance.
Il met ses mains sur les fesses et les trouve brulantes: ben tu m'étonnes avec ce que tu leur a
mis!
Soudain, il m'écarte les fesses. Bizarrement comme par reflexe j'écarte alors les jambes.
"Allez montre un peu ta chatte!" : et voila une humiliation de plus: mon chaton offert à la vue de
tous!
Il me relache les fesses. Je veux alors chercher ma culotte pour la remettre mais il m'ordonne de rester en position penchée, il a "un truc" pour
moi.
Il me prend la tête d'une main pour que je la tourne vers lui : je n'ai pas entendu dans mon dos mais il a
baissé sa braguette et sorti sa bite qui est toute dressée.
Je l'ai à hauteur de mon visage!
"Fais ton devoir et appliques toi!" et j'obéis sans broncher, malgré la position pas pratique et je me
mets à le sucer.
Ca a plutôt l'air de lui plaire mais il veut que l'avale plus profondément alors il pousse mais ça me fait
tousser et il doit se retirer.
Finalement, devant être déjà passablement excité, il fini par se branler frénétiquement et n'est pas long
à venir: il doit bien être à 30 cm de moi mais d'un seul coup quand il jouit et une grosse giclée vient attérir en plein sur mon visage: j'en ai partout: bouche nez, cils, joues.
Vola qui clos ma séance de dressage. Il contemple ma frimousse éclaboussée et s'en amuse tout en rangeant
sa bite dans son slip et refermant son pantalon.
N'ayant pas mon sac à main je ne peux pas m'essuyer et reste comme ça le temps jusqu'à ce qu'il me
relache.
Il me dit que c'est bon il en a fini avec moi et que je peux rentrer chez moi non sans ajouter que la
prochaine fois qu'il devra me punir ma chatte y passera.
Il est ensuite parti et je suis retournée à ma voiture. Le gars des urinoirs était là avec d'autres
et ils compris que le jeu était fini et m'ont laissé m'essuyer et me changer.
Je suis rentrée et j'ai constaté la couleur de mes fesses malgré la demi heure de route j'aais les fesses
encore très rouges. Bonne année 2014!
par sophie49